mardi, juin 07, 2005

La fin d'une année...

C'est la fin...

Aujourd'hui, c'est la fin... l'achèvement d'une période de notre vie parmi tant d'autres. C'est aussi le début d'un nouveau commencement car si fin il y a, début il y aura. Une année scolaire se termine, des visages disparaissent mais referont surface plus tard tandis que d'autres se noieront à jamais. Cette année n'est qu'une période de notre vie qui passe et qui s'effacera pour certains, alors que d'autres garderont ses souvenirs comme un magnifique trésor bien protégé de viles mains. La fatalité nous permet-elle de saisir l'importance des sentiments que nous éprouvons à l'égard d'une personne ? Car sans le savoir, sans même le penser une seconde, on s'attache à des gens qu'on ne veut revoir partir. Hélas, il est trop tard quand on s'en rend compte. Il est trop tard de dire à ces personnes ce qu'elles représentent à nos yeux. Sincèrement. Les rires, les sourires, les voix, qu'on entend matin et midi ne seront plus là. De même pour la sympathie qui émane de certains et des douces mains des autres. Tout ceci s'évapora comme neige sous le soleil. Les mauvaises blagues de certains, la malchance des autres formaient notre quotidien, et maintenant ? Rien... tout part comme fumé. Cette période est révolue.

D'ailleurs, quand une chose se finit, cela nous donne une sensation réellement bizarre. En fait, ce sont deux envies qui s'opposent, celle d'en finir rapidement et celle de souhaiter que les derniers moments qui passent dure une éternité. Deux envies totalement contradictoires qui se mélangent complètement lorsque la fin approche inéluctablement. Finalement, l'Homme pourrait se comparer à un paradoxe vivant cependant en ce moment, moi, je peux être sûr d'une chose : Ils me manqueront tous et c'est bien çà, le plus important...

dimanche, juin 05, 2005

Le faux-cul. Chapitre 2 : Cours d'EPS. Episode 1 : La cruche, le modèle féminin ?

Après avoir décrit les quelques énergumènes dans ma classe. Laissez-moi vous contez comment se déroule une heure de sport. Ce récit sera bref à mon plus grand désarroi. Aujourd'hui, c'est lundi et d'ici quelques minutes, après la récrée de quinze heures cinquante cinq, notre classe assistera à la pire matière de toute la semaine pour moi : l'EPS ! Ce n'est pas la matière qui me dégoûte, en fait ce sont les personnes pratiquant qui me répugnent. Ce sport devrait être interdit à quelques catégories d'être vivant, par exemple : les gros, les sourds et les aveugles. Enfin là, n'est pas le sujet car je ne connais pas d'aveugles ni de sourds dans ma classe. On a juste hérité du pauvre Thomas qui à lui seul vaut les trois catégories réunies. Aujourd'hui démarre le cycle foot, un sport magnifiquement beau où des hommes se transforment en chien pour rattraper la baballe et mettre un but dans le camp adverse. Passionnant. Je critique mais malheureusement pour moi, ce sport m'a aussi hypnotisé. A croire que l'appel de la balle est plus fort que tout, peut-être que notre instinct de primate ressort en voyant un ballon roulé.

Bref, la sonnerie retentit et le professeur d'EPS apparut. Dommage que la nature ne l'a pas haï, je l'aurai critiqué à coeur joie pourtant, impossible de lancer des piques sur son physique. Il avait une bonne tête que toutes les sans cervelles de la classe adoraient, surtout la chef des cruches, Virginie. Elle se métamorphosait en une sorte de primate à deux pattes à chaque cours d'EPS, moins elle est vêtue plus elle pensait plaire au prof malheureusement pour elle, il n'en avait rien à foutre. Pourtant, la demoiselle, belle appellation de ma part pour cet être ignoble que la nature a fait naître, essayait tous les stratagèmes possible durant l'heure. Elle se frotta, le dragua sans résultat. Un peu normal, je me demande pourquoi personne ne lui a fait comprendre qu'elle n'avait aucune chance. Ici, ce n'est pas une question d'âge mais d'intelligence, il ne faut pas être devin pour constater qu’à la vue de sa face et de sa voix, il est strictement impossible qu'elle puisse vivre heureuse. La pauvre condamnée à vivre seule avec ses magazines de modes, ainsi qu'avec son abruti de fan club.

Franchement, je me pose parfois la question : comment Dieu a pu laisser une chance à ça ? J'ai toujours su que l'entité que les croyants ont foi n'est qu'un connard fini. C'est assurément le cas. Il veut nous faire vivre avec des déchets de la nature, alors qu'il représente la gentillesse et la perfection ? Evidemment ! J'oubliais, il nous a puni à cause d'une autre cruche, Eve, qui a mangé la pomme qu'il avait interdite. Où comment le saint esprit a fait naître la première et la reine des cruches : Eve. Visiblement, elle a agit comme un virus sur sa descendance, et maintenant, la femme est définitivement contaminée pour le reste de ses jours. Désolant. Je ne parlerai même pas de Thomas pour éviter que vous vous pendiez à la fin de ce premier épisode. Ce sera pour la prochaine fois…

vendredi, juin 03, 2005

Voyage à travers les dimensions.

Nouveau manga des Clamp, Tsubasa Chronicle semble être l'un des plus grand cross-over jamais réalisé par Clamp. Le personnage principal n'est autre que Shaolan déjà présent dans Card Captor Sakura, ainsi que l'héroïne du manga éponyme. Les autres protagonistes viennent des différents mangas des artistes. On retrouve de tout, des personnages de X de Clamp, XXholic, Magic Knigth rayearth, RG Veda et Chobits pour un premier numéro. L'histoire se déroule dans le pays de Clow, du moins au début. Shaolan, qui est archéologue, rentre chez lui après avoir effectué ses fouilles quotidiennes. Soudain, une personne toqua à la porte, c'était la princesse du pays, Sakura. Elle rendait une petite visite à Shaolan. Après quelques échanges, Sakura repartit dans son royaume. Chez elle, elle entendit des voix venant des ruines où Shaolan travaillait, et eut une vision.

Le lendemain la princesse décida de rendre une visite là où travaillait l'archéologue en herbe. Un sceau dessiné au sol ressemblait étrangement à la vision que Sakura eut auparavant ! Tout à coup, elle entra dans un état de demi conscience après avoir vu le dessin. Elle s'enfonça dans le sol et ouvrit ses ailes tout en étant englouti par une force mystérieuse ! Shaolan la sauva et ses ailes disparurent soudainement. A l'extérieur, venus d’un autre monde, des hommes attaquèrent le pays. Heureusement que Toya, roi du pays et frère de Sakura, s'occupa d'eux. Plus tard Yukito un prête au service du roi envoya Shaolan avec Sakura, inconsciente, dans une autre dimension pour savoir que faire pour sauver la princesse. En fait, ses ailes représentent son âme, et elles se sont dispersées dans diverses dimensions. Ainsi commença le long périple à travers les différentes dimensions pour retrouver les ailes de la princesse.


Pour un premier volume, il démarre assez bien. L'histoire est déjà mise en place, ainsi que les protagonistes importants. Seulement à mes yeux, il y a une crainte majeure. C'est génial de réunir tous les personnages de Clamp dans un manga pour faire le plus gros cross-over des mangas de Clamp.

Malheureusement, ce cross-over est à double tranchant. Est-ce qu'il ne va pas être là pour éviter aux dessinatrices de faire des efforts ? A la fin du tome 1, lorsqu'on peut avoir un aperçu du Kudan, je ne pouvais m'empêcher de crier ma déception ! Revoir les gardiens de Magic Knigth Rayearth quelle surprise de mauvais goût. J'ai peur de ne pas être surpris vu qu'elles pêchent dans leurs anciennes créations. Bien sûr, rien n'a été dit et expliqué sur ce pouvoir, ainsi que l'histoire mais cela attise mes craintes qui s'envoleront ou se renforceront à l'achat du deuxième tome. Rien n'est encore joué ! En tout cas, ce manga est bien parti pour devenir un incontournable chez les amateurs de Clamp, s'il progresse en qualité au fil des tomes.

Couverture du tome 1 :